4467 ouvrages, dont, depuis le 01/01/2010
Lus par Daniel : 2044 dont 853 polars, 390 hist, 192 sf, 181 ftsy, 289 autres, 87 essais, 52 bd
Lus par Sylvie : 122
Abandonnés en cours de route : 17
Mis au réfrigérateur en attendant des temps meilleurs : 112
Sur les étagères : 3932
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Jérôme Baschet est maître de conférence à l'Ecole des hautes études en sciences sociales. Il enseigne également à San Cristobal de Las Casas, au Mexique. Il a notamment publié La Rébellion zapatiste (Champs-Flammarion, 2009) et L'Iconographie médiévale (Gallimard, 2008).
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XVe - XVIIIe siècle 1. Les Structures du quotidien. 2. Les Jeux de l'échange. 3. Le Temps du monde. Ces trois volumes sont une introduction à l'histoire du monde du XVe au XVIIIe siècle, un voyage à travers le temps et l'espace des civilisations qu'a bousculées alors - en Asie, en Amérique, en Afrique - la violente expansion de l'Europe. C'est aussi une réflexion peu orthodoxe sur la nature et le rôle d'un acteur important : le capitalisme, que l'auteur, contre toutes les règles, distingue vigoureusement de l'économie de marché. L'accent est mis sur le poids énorme d'un troisième secteur, celui d'une production paysanne encore majoritairement enfermée dans le troc et l'autosuffisance, à l'écart du marché. Civilisation matérielle, économie et capitalisme, XVe-XVIIIe siècle
L'Identité de la France. Espace et Histoire n'est pas une histoire de France parmi beaucoup d'autres... C'est l'oeuvre finale de l'un des plus importants historiens français du XXe siècle. Braudel, qui avait surtout promené sa plume autour de la Méditerranée, ressentit le besoin ultime d'appliquer à sa terre natale les méthodes qui avaient fait le succès de la "nouvelle histoire". Tout y est, même si le projet demeure inachevé : la recherche des permanences sur la longue durée, la convocation féconde de toutes les sciences humaines pour analyser un sujet, la France, que l'auteur dit "aimer avec passion". Le style vif et plaisant transforme la lecture en promenade à travers les siècles. Cette étude des cycles longs aboutit à un constat de "diversité" qui vaut autant pour l'histoire que pour la géographie du pays. Véritable introspection testamentaire, le tableau de ces Frances successives délivre non seulement les clés de la compréhension d'une grande nation, mais aussi de la méthode d'un historien qui a fait école. --Stéphane Pares L'identité de la France
La Méditerranée et le Monde méditerranéen à l'époque de Philippe II est un ouvrage de l'historien français Fernand Braudel, publié en 1949. C’est en 1923 qu’il décide de se lancer sur la thèse « La politique diplomatique méditerranéenne de Philippe II » sous la direction de Lucien Febvre, qui lui a déjà travaillé sur Philippe II. Lucien Febvre écrit à Fernand Braudel : « Philippe II et la Méditerranée : beau sujet. Mais pourquoi pas la Méditerranée et Philippe II ? Un autrement grand sujet encore ? Car entre ces deux protagonistes, Philippe et la Mer Intérieure, la partie n’est pas égale ». Ce changement fera d’un espace maritime l’acteur principal d’une œuvre. Et sera l’une des œuvres caractéristiques du mouvement des Annales. En effet, depuis 1930, pour faire face à l’école positiviste, Marc Bloch et Lucien Febvre expriment leur volonté de délaisser l’événementiel, une volonté de passer de la vie politique à la vie économique, à l’organisation sociale et à la psychologie collective, rapprochant ainsi l’histoire des autres sciences humaines. Cette volonté sera notamment cristallisée par la fondation de la revue Les Annales, fondée en 1929, distribuée à Paris en 1936. Febvre devient directeur de recherches de Braudel en 1937. Il écrit le gros de son ouvrage en Allemagne, où il est retenu captif de 1940 à 1945, travail qu’il jugera comme un « travail refuge ». La Méditerranée et le monde méditerranéen à l'époque de Philippe II
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Fernand Paul Achille Braudel, né le 24 août 1902 à Luméville-en-Ornois (Meuse) et mort le 27 novembre 1985 à Cluses (Haute-Savoie), est un historien français. Fermement convaincu de l'unicité profonde des sciences humaines, il est l'un des représentants les plus populaires de « l'École des Annales » et a marqué durablement les historiographies française et internationale par la définition de concepts « braudéliens » : l'étagement des temporalités, la longue durée, ou encore la civilisation matérielle sont des prismes à travers lesquels il observe le monde et dépasse très largement l'histoire traditionnelle en ouvrant sur des sciences telles que la géographie, l'économie, l'ethnologie, la sociologie, ou encore l'archéologie.
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Né à : Londres, le 28/06/1892 et mort le 5/11/1982 Edward Hallett Carr est un historien anglais, un journaliste et un théoricien des relations internationales. Il est surtout connu pour son ouvrage sur l'entre-deux guerres : The Twenty Year's Crisis, 1919-1939. Edward Carr a été diplomate au Foreign Office (l’équivalent du ministère des affaires étrangères en France) de 1916 à 1936. Cela lui a permis d’assister à la Conférence de la paix à Versailles en 1919 en tant que membre de la délégation anglaise. De 1925 à 1929 il a exercé un poste de diplomate dans les pays baltes puis, en 1933, atteignait le poste de premier secrétaire du Diplomatic Service. Il devint ensuite professeur en relations internationales à Aberystwyth de 1936 à 1947, puis historien à l'université de Birmingham. Il a publié de nombreux articles et comptes rendus d’ouvrages dans le Times Literary Supplement, en particulier sur l’Union soviétique. Edward Carr a exercé un grand poids sur la soviétologie d'après-guerre. La majeure partie de sa carrière d’historien a été consacrée aux quatorze volumes de son History of Soviet Russia, qui couvrent les douze premières années du régime soviétique et sur lesquels il a travaillé de 1944 à 1977.
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Née à Paris le 06/09/1929 Hélène Carrère, dite Hélène Carrère d'Encausse, née Zourabichvili, est une historienne française. Fille de l'intellectuel géorgien Georges Zourabichvili et de l'italienne Nathalie von Pelken, elle a un frère, Nicolas, et est la cousine de Salomé Zourabichvili. Elle apprend d'abord le russe, puis le français. Installée à Bordeaux, elle quitte la ville pour Paris avec sa mère après l'assassinat de son père en 1944. En 1952, elle épouse Louis Carrère, dit Carrère d'Encausse (1928), assureur, fils de Georges Carrère et de Paule Dencausse. Ils ont trois enfants : Emmanuel (1957), Nathalie (1960) et Marina (1961). Elle est diplômée de l'Institut d'études politiques de Paris (section Service public, promotion 1952), docteur (1963) et docteur d’État (1976) ès lettres. Professeur d'histoire à l'Université Paris-I puis à l'IEP de Paris (1969), elle est directeur d'études à la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP) et administrateur de l'EastWest Institute. Parallèlement, elle devient membre de la Commission des sages pour la réforme du Code de la nationalité en 1986-1987. Elle est élue à l'Académie française, le 13 décembre 1990. Durant l'année 1992, occupe le poste de conseiller auprès de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement, participant ainsi à l'élaboration d'une politique d'assistance à la démocratisation des anciens États communistes. Élue au Parlement européen en juin 1994, elle est vice-présidente de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense. Elle est nommée en 1998 membre du conseil national pour un nouveau développement des sciences humaines et sociales. En 2004, elle devient président du conseil scientifique de l'Observatoire des statistiques de l'immigration et de l'intégration. Hélène Carrère d'Encausse doit, surtout, sa réputation à ses ouvrages "visionnaires" sur l'URSS dont "L' Empire éclaté" (1978, Prix Aujourd'hui). En 1997, elle obtient le Prix des Ambassadeurs 1997 pour "Nicolas II", le Prix du nouveau cercle Interallié 2000 pour "La Russie inachevée" en 2000. Elle a de nombreuses décorations dont Grand-officier de la Légion d'Honneur en 2008, Officier de l'ordre national du Mérite ou encore Commandeur dans l'ordre des Arts et des Lettres.
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Les quatre volumes de L'Art français d'André Chastel - des origines au début du XIXe sont aujourd'hui réédités sous la même forme que son célèbre Art italien, chaque volume augmenté de notices biographiques des artistes. Fruit de plus de dix années de recherche, L'Art français est de ces monuments que l'on rencontre exceptionnellement dans l'histoire de l'édition. Le parti retenu par André Chastel a été conçu, pensé et bâti comme le testament de sa carrière d'historien. Chaque volume a fait l'objet d'un double regard : une vue cavalière, embrassant largement l'époque, les conditions économico-sociales, politiques et intellectuelles, introduit chaque ouvrage pour dégager l'esprit du temps et de l'identité française ; puis l'analyse, fondée sur l'étude des faits et des formes, vient inventorier dans le détail l'inépuisable puissance créatrice du sol français, "le plus divers, le plus allègre, le plus habitable des pays à vivre". C'est en remontant avec une érudition sans faille jusqu'aux origines de la France que, par touches successives, André Chastel parvient ici, dans une double évocation poétique et historique, à recréer la genèse de l'art français, du brassage des civilisations gauloise, romaine et franque jusqu'à ce premier classicisme que fut l'art gothique du XIIIe siècle, de la renaissance carolingienne aux premiers signes de la Renaissance, de l'imaginaire roman au fantastique flamboyant. De ces fils emmêlés de l'histoire se dégage peu à peu l'image d'un art qui, au-delà de ses contradictions, fortifie son identité. L'art français
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André Chastel, né à Paris le 15 novembre 1912 et mort à Paris le 18 juillet 1990, est un historien de l'art français, spécialiste de la Renaissance italienne.
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Silvana Condemi est une paléoanthropologue directrice de recherche au CNRS. Elle a notamment travaillé sur la question de l'hybridation des Néandertaliens et des premiers Hommes modernes. Elle obtient en 1985 un doctorat de troisième cycle en géologie du Quaternaire (option paléoanthropologie) à l’université de Bordeaux I et soutient une thèse sur Les Hommes fossiles de Saccopastore (Italie) et leurs relations phylogénétiques. Habilitée à mener des recherches en anthropologie depuis 1998, elle est responsable de la thématique paléo-anthropologie de l’UMR 7268-ADES, à l'université d'Aix-Marseille. Ses travaux prennent pour objet le peuplement de l'Eurasie au Pléistocène inférieur et moyen, les Néandertaliens et les premiers Hommes modernes au Proche-Orient, l’évolution et la variabilité des populations du Pléistocène moyen et également la variabilité des Hommes actuels François Savatier est journaliste au magazine Pour la Science où il couvre notamment les sciences du passé.
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Aux origines de l'humanité
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La guerre d'Algérie
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Richard Dawkins, né le 26 mars 1941 à Nairobi, est un biologiste et éthologiste britannique, vulgarisateur et théoricien de l'évolution, membre de la Royal Society. Professeur émérite au New College de l'université d'Oxford, Richard Dawkins est l'un des académiciens britanniques les plus célèbres. Il acquiert la consécration avec son livre de 1976 intitulé Le Gène égoïste, qui popularise la théorie de l'évolution centrée sur les gènes et introduit le terme de « mème ». En 1982, il développe cette théorie dans son ouvrage Phénotype étendu puis publie en 2006 Pour en finir avec Dieu, vendu à plus de deux millions d'exemplaires et traduit en trente et une langues.
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Quand Descartes commence à s'intéresser aux sciences, la domination de l'aristotélisme et de la métaphysique scolastique commence à être discutée41. Certains soutiennent par exemple que Descartes a été influencé par la méthode du doute du théologien Pierre Charron, qui s’est démarqué de la métaphysique scolastique qu'il jugeait trop spéculative42. Il y a au XVIIe siècle une résurgence certaine des courants philosophiques du stoïcisme, de l'augustinisme et du scepticisme – plus particulièrement en ce qui a trait à l'influence de Montaigne, qui constitue à cet égard une figure représentative du doute et du scepticisme qui anime l'époque. Le doute sceptique est une question qui intéresse son siècle : on a conscience de ne pas posséder une vérité indubitable, surtout dans le domaine des mœurs et des opinions, mais on la cherche : le cheminement vers le doute s'oriente vers la vérité. Les idées de la fraternité de Rose-Croix étaient aussi très répandues en Allemagne et en France autour des années 1620. Par ailleurs, la controverse ptoléméo-copernicienne sur les deux systèmes du monde (géocentrisme vs héliocentrisme) fait rage dans le milieu scientifique et religieux (voir révolution copernicienne). Les thèses héliocentriques font leur chemin. Elles remettent en cause certains fondements de la religion chrétienne : en effet quelques passages cosmologiques de la Bible, interprétés littéralement, laissent entendre que la Terre est immobile. Les systèmes d'Aristote et de Ptolémée décrivaient aussi la Terre fixe au centre de l'univers. Il n'est pas possible de débattre tout à fait librement de l'héliocentrisme depuis l'interdiction de 1616 par l'Église. Galilée, célèbre partisan de la doctrine héliocentrique, après avoir convaincu une partie des autorités de l'Église, est finalement condamné à l'emprisonnement en 1633 par un tribunal ecclésiastique. Son ami le pape Urbain VIII commue sa peine en assignation à résidence. Descartes avait écrit en 1632-1633 un Traité du monde et de la lumière, dans lequel il défendait la thèse héliocentrique43. Il apprit en 1633 la condamnation de Galilée, puis il reçut en 1634 de son ami Beeckman le Dialogue sur les deux grands systèmes du monde, le livre qui valut à Galilée sa condamnation. C'est la raison pour laquelle il renonça à publier son Traité du monde et de la lumière. Pensant que Galilée avait manqué de méthode pour défendre la thèse de l’héliocentrisme, il préféra s'orienter vers une carrière philosophique : Avec Descartes, les outils mathématiques permettent le développement d'une science nouvelle, la dynamique, issue de l'astronomie et de la physique. Les sciences deviennent des disciplines autonomes qui se passent de la métaphysique. L'école scolastique a manqué sur les questions d'observation, elle est discréditée. C'est la révolution copernicienne. Descartes, avide de connaissances, s'interrogea sur la place de la science dans la connaissance humaine. Il approuvait le projet de Galilée de rendre compte de la nature en langage mathématique, mais il lui reprochait son manque de méthode, d'ordre et d'unité. Toute la philosophie cartésienne aura pour préoccupation constante de ramener l'étude d'objets particuliers à quelques principes premiers, dont le fameux cogito ergo sum. Œuvres et lettres
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René Descartes, né le 31 mars 1596 à La Haye-en-Touraine (aujourd'hui Descartes) et mort le 11 février 1650 à Stockholm, est un mathématicien, physicien et philosophe français. Il est considéré comme l’un des fondateurs de la philosophie moderne. Il reste célèbre pour avoir exprimé dans son Discours de la méthode le cogiton — « Je pense, donc je suis » — fondant ainsi le système des sciences sur le sujet connaissant face au monde qu'il se représente. En physique, il a apporté une contribution à l’optique et est considéré comme l'un des fondateurs du mécanisme. En mathématiques, il est à l’origine de la géométrie analytique. Certaines de ses théories ont par la suite été contestées (théorie de l’animal-machine) ou abandonnées (théorie des tourbillons ou des esprits animaux). Sa pensée a pu être rapprochée de la peinture de Nicolas Poussin pour son caractère clair et ordonné, rapprochement qui semble contradictoire. Le cogito marque la naissance de la subjectivité moderne. Sa méthode scientifique, exposée à partir de 1628 dans les Règles pour la direction de l'esprit, puis dans le Discours de la méthode en 1637, affirme constamment une rupture par rapport à la scolastique enseignée dans l'Université. Le Discours de la méthode s'ouvre sur une remarque proverbiale « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée » pour insister davantage sur l'importance d'en bien user au moyen d'une méthode qui nous préserve, autant que faire se peut, de l'erreur. Elle se caractérise par sa simplicité et prétend rompre avec les interminables raisonnements scolastiques. Elle s’inspire de la méthode mathématique, cherchant à remplacer la syllogistique aristotélicienne utilisée au Moyen Âge depuis le XIIIe siècle. Comme Galilée, il se rallie au système cosmologique copernicien ; mais, par prudence envers la censure, il « avance masqué », en dissimulant partiellement ses idées nouvelles sur l’homme et le monde dans ses pensées métaphysiques6, idées qui révolutionneront à leur tour la philosophie et la théologie. L’influence de René Descartes sera déterminante sur tout son siècle : les grands philosophes qui lui succèderont développeront leur propre philosophie par rapport à la sienne, soit en la développant (Arnauld, Malebranche), soit en s’y opposant (Locke, Hobbes, Pascal, Spinoza, Leibniz). Il affirme un dualisme substantiel entre l'âme et le corps, en rupture avec la tradition aristotélicienne. Il radicalise sa position en refusant d'accorder la pensée à l'animal, le concevant comme une « machine », c'est-à-dire un corps entièrement dépourvu d'âme. Cette théorie sera critiquée dès son apparition mais plus encore à l'époque des Lumières, par exemple par Voltaire, Diderot ou encore Rousseau. A la fin du XXe siècle, António Damásio à la lumière des neurosciences, dans son livre L'Erreur de Descartes, montre que le corps et l'esprit fonctionnent de manière indissociable.
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Cours J. Issac |
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Malgré la diminution considérable du nombre de paysans, les questions touchant au monde rural ne cessent pourtant pas d'intéresser le public. Dans le domaine de l'Histoire, cet intérêt s'est traduit par un renouveau récent des études rurales, dans la droite ligne de leur père fondateur, Marc Bloch. C'est une synthèse de ces récents travaux que proposent ces quatre volumes Des origines à 1340, De 1340 à 1789, De 1789 à 1914 et Depuis 1914, qui retracent l'évolution des campagnes françaises de la préhistoire à nos jours. Tous les aspects de la vie rurale sont traités : les paysages, par l'étude de leur genèse sur la longue durée ; les aspects techniques et économiques ; plus largement, l'ensemble du cadre matériel et mental de la vie paysanne et ses transformations au cours des siècles. Cette démarche est globale et tente de donner une vue d'ensemble d'un monde qui n'est qu'apparemment uniforme. Géographes, sociologues et économistes ont apporté leur concours aux historiens pour bâtir ce vaste et vivant tableau d'un monde jusqu'ici mal connu, mais dont les traces sont encore nettement perceptibles dans la France d'aujourd'hui. --Thomas Ferrier Histoire de la France rurale
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Pour les éditions Fayard Jean Favier a aussi dirigé, de 1992 à 1995 une Histoire de France en six tomes dont il rédige le second tome intitulé Le Temps des principautés. De l'an mil à 1515. Je viens de terminer Histoire de France sous la direction de Jean Favier, six volumes, quatre mille pages : de quoi occuper les longues soirées de l’hiver qui commence à peine, alors pourquoi hésiter ? ! L’histoire pour moi n’est pas un catalogue de dates, une litanie de nominations barbantes, royales ou gouvernementales, c’est une suite de péripéties extraordinaires, une fresque épique, un feuilleton à la fois sordide et merveilleux, joué par des acteurs plus ou moins bons, emportés, comme on dit, dans le vent d’une pièce aux multiples rebondissements et dont le dénouement est malheureusement souvent le même (irréversible fatalité ?) : la guerre. Et c’est exactement ce que l’on découvre dans cette série qui va du néolithique à aujourd'hui, et dont la saison 2 est en préparation, réservée à nos descendants… Il faut dire que Favier a eu l’intelligence (qui pouvait douter de ce formidable médiéviste décédé en 2014 ?) de confier chaque période à un spécialiste, et que, malgré cela, l’ensemble garde une grande cohérence, puisque s’attachant par-dessus tout - ce qui est essentiel - à l’évolution des mentalités, aux progrès techniques, sociaux et à l’évolution des idées, plus qu’à la chronologie et à la généalogie de la noblesse ! C’est seulement dans cet esprit que l’Histoire peut remplir pleinement son rôle : nous éclairer sur ce que nous vivons et nous aider à faire des choix de vie et d’action afin de tenter d’améliorer la Société (si l’on croit que c’est encore possible, naturellement !). Alors, sortez vos marque-pages et blottissez-vous sur vos oreillers : l’aventure commence ! Thierry Erhart. Histoire de France
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Jean Favier est un archiviste et historien français, né le 2 avril 1932 à Paris où il est mort le 12 août 2014. Il a été conservateur aux Archives nationales, professeur aux universités de Rennes, de Rouen et de Paris-Sorbonne, directeur général des Archives de France, président du Conseil international des Archives et président de la Bibliothèque nationale de France. Membre de l'Institut, il a également été président de la Commission française pour l'Unesco. Il est l'auteur de plus de vingt ouvrages, dont La Guerre de Cent Ans, François Villon, Les Grandes Découvertes, le Dictionnaire de la France médiévale et Paris (Fayard).
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Mémoires de Guerre
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Le monde chinois
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Léa France Gourdji, dite Françoise Giroud, née le 21 septembre 1916 à Lausanne1, en Suisse, et morte le 19 janvier 2003 à l'hôpital américain de Paris, à Neuilly-sur-Seine, est une journaliste, écrivaine et femme politique française. Son pseudonyme2 de Françoise « Giroud », quasi anagramme de Gourdji, que lui avait inventé Maurice Diamant-Berger pour travailler à la radio vers 19383, devient officiellement son nom par un décret paru au Journal officiel le 12 juillet 19644. Vice-présidente du Parti radical et de l'UDF, elle a été deux fois secrétaire d’État et fut une personnalité majeure de la presse française.
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La Voie de l'épée
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Michel Goya, né le 19 avril 1962 à Montaut (Pyrénées-Atlantiques), est un militaire et historien français. Colonel des troupes de marine, il devient ensuite enseignant et auteur spécialisé dans l'histoire militaire et l'analyse des conflits. Michel Goya est le fils de Luis Goya Picassari, coureur cycliste professionnel espagnol, et de Jeanne, ouvrière textile. Il passe son baccalauréat série A (lettres) en 1980, puis étudie en classes préparatoires littéraires au lycée militaire d'Aix-en-Provence pour préparer le concours d'entrée à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr de 1980 à 1983. Il obtient son DEUG de lettres modernes à l'université d'Aix-Marseille en 1983, au sein de la faculté des arts et des lettres. Il obtient son diplôme d’état-major et son certificat militaire de langue anglaise du 2e degré en 2000, puis son brevet d’études militaires supérieures technique (BEMS/T) en 2003. Il fait partie de la promotion 2003-2004 du Collège interarmées de Défense (École de guerre) à l’École militaire à Paris. Il soutient un DEA en histoire moderne et contemporaine en 2003, puis son doctorat en histoire moderne et contemporaine en 2008 à l'université Paris IV.
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En cinq volumes, l'Histoire de France Hachette retrace un millénaire de l'histoire politique de la France. La rigueur et l'originalité des analyses, la richesse de l'iconographie, l'intelligence des commentaires qui l'accompagnent, permettent à chacun de mieux comprendre le destin spécifique de ce pays. « Le projet que nous avons bâti, Emmanuel Le Roy Ladurie, François Furet, Maurice Agulhon et moi, implique de concentrer notre discours sur le politique. Ce livre n'est pas un précis d'histoire de France ; il n'est pas non plus une histoire de la civilisation française. Mon but est de montrer comment l'État émergea peu à peu de la féodalité. Évidemment, l'évolution politique prend place au sein d'un ensemble. Elle ne saurait en être isolée. Aussi ai-je veillé attentivement à ce que demeurent présents à l'esprit tous les changements qui déterminent cette évolution et sur lesquels elle retentit. J'évoque par exemple l'accélération de la circulation monétaire, la construction des cathédrales, l'épanouissement de la courtoisie, mais toujours en relation avec ce qui fait l'objet de ma recherche : la lente transformation des rapports de pouvoir. Je dois enfin avertir de deux partis que j'ai pris. Je n'ai pas hésité d'abord à m'arrêter à certains événements. La relation qu'on en a faite à l'époque projette une brusque lumière sur la conjoncture et sur les structures les plus profondes : par l'événement, nous touchons à la vie même. J'ai voulu d'autre part me tenir constamment au plus près des témoignages. Mon ambition est en effet de restituer autant qu'il est possible l'image que les hommes de ces temps lointains se faisaient de leur situation dans le monde. Ce monde, je cherche à l'entrevoir par leurs yeux. » Georges Duby Histoire de France Hachette
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Douglas Richard Hofstadter, né le 15 février 1945, est un universitaire américain, surtout connu pour son ouvrage Gödel, Escher, Bach : Les Brins d'une Guirlande Éternelle (1979), qui obtint le prix Pulitzer de l'essai en 1980. Fils du lauréat du prix Nobel de physique Robert Hofstadter, il a obtenu son doctorat en physique à l'université de l'Oregon en 1975. Depuis 1988, il est professeur de sciences cognitives et d'informatique, professeur adjoint d'histoire et de philosophie des sciences, philosophie, littérature comparée et psychologie à l'université de l'Indiana à Bloomington, où il dirige le Centre de recherche sur les concepts et la cognition1. Hofstadter est multilingue, ayant passé une année à Genève dans sa jeunesse. Il a vécu en Suède au milieu des années 1960 et comprend le suédois. Il parle italien, anglais, français, allemand et partiellement russe — il a lui-même traduit certaines parties de GEB en russe. Dans son ouvrage Le Ton beau de Marot (écrit en mémoire de sa femme Carol), il se décrit comme étant « pi-lingue » (sachant parler 3,14159 langues) et « oligoglot » (parlant peu de langues). Ses domaines d'intérêts comprennent les sujets relatifs à l'esprit, la créativité, la conscience, l'autoréférence, la traduction et les jeux mathématiques. À l'université de l'Indiana à Bloomington, il a été coauteur, avec Melanie Mitchell et d'autres, d'un modèle de « perception cognitive de niveau supérieur », Copycat, ainsi que de plusieurs autres modèles cognitifs et de reconnaissance d'analogies.
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Paul Murray Kendall (1911-1973) est un professeur d'anglais et d'histoire qui a enseigné pendant plus de trente ans à l'université de l'Ohio, puis, après sa retraite, à l'université du Kansas. Spécialiste de la fin du Moyen Âge, Il a consacré plusieurs ouvrages à l'histoire du XVe siècle, dont trois grandes biographies de Richard III d'Angleterre, Louis XI de France et Richard Neville qui ont fait date dans les biographies historiques. Il a également écrit un roman historique Mon frère Chilpéric ainsi qu'une étude de la vie quotidienne au temps de la Guerre des Deux-Roses intitulée The Yorkist Age.
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André Lagarde et Laurent Michard, professeurs de lettres supérieures dans les années 1950-1960 respectivement aux lycées Louis-le-Grand et Henri-IV (puis inspecteurs généraux de l’Éducation Nationale), sont les auteurs de cette anthologie qui comporte 6 volumes, publiés aux éditions Bordas de 1948 à 1962.
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Avec « Les vingt ans du roi » commence l'une des plus grandes aventures jamais tentées par un historien : faire vivre sous nos yeux - à travers les actes de la vie publique et privée de près de cinq cents hommes suivis mois après mois, année après année, - cette époque entre toutes glorieuse de notre Histoire et de l'Histoire du monde : la Révolution française. Pour mener à bien cette entreprise immense (elle comprendra 5 tomes), il fallait plus qu'un historien doublé d'un romancier ; il fallait le grand créateur et metteur en scène qui se révèle ici. Depuis Michelet, on n'a jamais entendu battre plus intensément le cœur de l'Histoire. Les hommes de la liberté
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Né en 1923, Claude Manceron a contracté la poliomyélite à l'âge de 11 ans, ce qui l'a contraint à rester allonger pendant des années. Adulte, il devient éducateur spécialisé dans un centre pour paralysés. A la fin des années 1950, il publie son premier livre, un roman consacré aux Cent jours. Entré au Comité national des écrivains, il fréquente Aragon et signe le manifeste des 121 contre la guerre d'Algérie. C'est en 1968, installé dans l'Hérault, qu'il entreprend son grand projet sur les hommes qui ont fait la Révolution. Pendant quatre ans, il s'immerge dans les archives. Le premier volume des Hommes de la liberté paraît en 1972, le cinquième en 1987. Il n'ira pas au bout de son projet ; il s'éteint à Rambouillet en 1999. Il a été chargé de mission auprès de François Mitterrand de 1981 à 1995.
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Michelet (1798-1874), pour comprendre la formation de la monarchie, a voulu en étudier la ruine : son Histoire de la Révolution française parut de 1847 à 1853. Elle est demeurée, depuis lors, parce que écrite au plus près des archives, le Grand récit de référence, historique, épique, lyrique. Il n'est jusqu'aux historiens contemporains, marxistes ou libéraux, qui n'y aient puisé, ne l'aient discuté, ne s'en soient inspirés. «Toute histoire de la Révolution jusqu'ici était essentiellement monarchique. Celle-ci est la première républicaine, celle qui a brisé les idoles et les dieux. De la première page à la dernière, elle n'a eu qu'un héros : le peuple.» Histoire de la Révolution française
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Jules Michelet, né le 21 août 1798 à Paris et mort le 9 février 1874 à Hyères, est un historien français. Libéral et anticlérical, il est considéré comme étant l'un des grands historiens du XIXe siècle bien qu'aujourd'hui controversé, notamment pour avoir donné naissance à travers ses ouvrages historiques à une grande partie du « roman national », républicain et partisan, remis en cause par le développement historiographique de la fin du XXe siècle. Il a également écrit différents essais et ouvrages de mœurs dont certains lui valent des ennuis avec l'Église et le pouvoir politique. Parmi ses œuvres les plus célèbres de l'époque, Histoire de France, qui sera suivie d'Histoire de la Révolution.
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Les Essais
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Histoire générale de l'Empire romain a été publié en 1974. C'est, en langue française, la plus récente synthèse sur l'Empire romain. Ce gros volume de près de 800 pages est repris intégralement dans " Points Histoire ", en trois volumes : Le Haut-Empire (27 av. J.-C. - 161 ap. J.-C.) La crise de l'Empire (des derniers Antonins à Dioclétien. 161-284) Le Bas-Empire (284-395) La bibliographie de la version originale a été remise à jour. Histoire générale de l'Empire romain
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Histoire de la fonction publique en France
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Histoire de la France politique
Nouvelle histoire de l'Antiquité
Janvier 1972. Il y a tout juste quarante ans, les éditions du Seuil publiaient en poche le tome I de La Chute de la monarchie, 1787-1792, un livre de l'historien Michel Vovelle. C'était le premier titre de la série Nouvelle Histoire de la France contemporaine, dirigée par Michel Winock. Cette collection à succès (1 500 000 exemplaires vendus entre 1972 et 2004) en aligne aujourd'hui une vingtaine. Nouvelle histoire de la France contemporaine
Nouvelle histoire de la France moderne1. Janine Garrisson, Royauté, Renaissance et Réforme (1483-1559)2. Janine Garrisson, Guerre civile et Compromis (1559-1598)3. Yves-Marie Bercé, La Naissance dramatique de l'absolutisme (1598-1661)4. François Lebrun, La Puissance et la guerre (1661-1715)5. André Zysberg, La Monarchie des Lumières (1715-1786) Nouvelle histoire de la France moderne
Nouvelle histoire de la France médiévale
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questions d'histoire
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Introduction à l'histoire de notre temps
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Pierre Riché, né à Paris en 1921, a obtenu l'agrégation d'histoire en 1948 et le doctorat ès Lettres en 1962. Après avoir été successivement professeur à Constantine, puis au Mans, assistant à la Sorbonne en 1953, maître de conférences à Tunis puis à Rennes, il est aujourd'hui professeur émérite à l'université de Paris X.
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Histoire du monde
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Université de tous les savoirs
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Une histoire de l'Europe
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Trinh Xuan Thuan est né à Hanoi, au Vietnam. Il a étudié au California Institute of Technology (Caltech) et à l’université de Princeton aux Etats-Unis où il a obtenu un doctorat en astrophysique. Depuis 1976, il est professeur à l’université de Virginie. Il a reçu en 2009 le prix Kalinga de l’Unesco, et, en 2012, le prix mondial de la fondation Simone et Cino del Duca pour l’ensemble de son œuvre de vulgarisation scientifique en langue française.
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